• Jean-Nicolas GILLOT
• Note : 0/10
• mercredi 27 décembre 2023 à 14:17

Le docteur Catherine JACONELLI ne présente pas les conditions légales d'aptitudes sur le plan des règles de stricte déontologie juridique pour l'exercice de la profession de psychiatre, notamment lorsqu'ils sont mandatés pour donner des avis sur l'aptitude d'un candidat à des emplois publics, situation sous tendue par les règles posés par l'article 6 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, à valeur constitutionnelle, postulant le principe d'égale admissibilité aux emplois publics.
Son insuffisance professionnelle fut constatée par ses pairs dans le cadre du comité médical du Val de Marne le 05 octobre 2001 où elle devait subir un désaveu sans appel par rapport à un de ses avis qui devait m'être préjudiciable pour l'accès à un emploi public, d'autant que le docteur JACONELLI avait émis un avis positif le 1er décembre 2000 pour l'accès à un emploi dans la même branche d'une administration impliquant notamment le port d'arme.
J'ai été la seule personne en France à avoir fait désavouer un psychiatre agréé d'une administration ce qui n'arrive par principe jamais car la psychiatrie, discipline qui analyse la psyché, d'essence subjective est analysé par un psychiatre, un sujet avec son expérience en opposition à d'autres disciplines objectives qui analyse l'état d'un muscle (exemple: cardiologue).
Un psychiatre sur le plan déontologique se doit de se baser sur ses propres constatations et non pas demander l'avis d'un autre professionnel, notamment celui qui adresse un patient dans le cadre d'une contestation de l'aptitude physique.
Au bout d'un examen de 10 minutes, le docteur JACONELLI devait me congédier le 1er décembre 2000 de son cabinet en me déclarant apte à l'exercice de fonctions.
Au bout de 7 minutes d'examen, pour un emploi dans le cadre d'une branche similaire (douanes), le docteur JACONELLI, étonnée, devait me congédier de son cabinet en me disant aller demander son avis au médecin généraliste qui avait donné un avis négatif, qu'elle a repris sans me reconvoquer, ce qui est une faute au sens juridique quant à l'exercice de son pouvoir d'appréciation qui doit reposer sur la base de ses seules constations.
Une expertise réalisée le 06 juillet 2001 par un expert psychiatre près la cour d'appel de PARIS, reposant sur 3 heures et demi d'entretien devait aboutir à des conclusions radicalement inverses qui devait conduire à son désaveu par le Comité médical départemental dans le cadre de laquelle cet expert judiciaire soutint ses constatations.
Je tiens à disposition lesdits documents qui attestent de la véracité desdits faits (beausite.gillot@gmail.com).
J'invite également toutes les personnes à même de relever des manquements du docteur JACONELLI à les faire remonter au Conseil de l'Ordre des Médecins (Courriel: CD.75@ORDRE.MEDECINS.FR).
Je tiens à disposition des adresses d'avocats spécialisés en droit de la responsabilité médicale pour faire donner des suites concrètes à toute personne ayant des doléances vis à vis de cette professionnelle de santé peu consciencieuse à mon sens au point de donner des avis sommaires, hâtifs à même d'impacter la vie voire l'avenir des personnes qu'elle est amené à rencontrer dans le cadre de sa pratique professionnelle.
Pour finir, je déconseille de faire appel à cette professionnelle de santé peu consciencieuses sur le plan de la déontologie médicale, toute preuve à l'appui que je tiens à disposition.